lundi 30 août 2010

La dynamique de l’humain

Caravanes de solidarité, restaurants du cœur ouverts à la rupture du jeûne, cérémonies de circoncision, distribution de manuels scolaires qui ont déjà servi, etc.

autant de points forts de la campagne de solidarité menée pendant ce mois de Ramadan. Du plus haut de la pyramide sociale jusqu’au niveau du citoyen moyen, l’aide afflue chez les familles et les personnes à la situation précaire, et ce, en réponse aux injonctions de notre sublime religion et aux recommandations du Président Ben Ali et de son épouse Mme Leïla Ben Ali. Les hautes valeurs de l’humain, l’entraide, la compassion, la bonté font vibrer le cœur des Tunisiens en ce mois saint dont l’un des symboles est le partage de la détresse de nos frères. Nos frères qui doivent savoir que, dans ce pays, ils ne seront jamais oubliés sur les bas-côtés des chemins de la vie, qu’ils ne seront jamais seuls et que, vers quelque direction qu’ils regardent, ils trouveront des âmes charitables promptes à les tirer d’affaire, des lieux où ils pourront se mettre à l’abri des aléas de l’existence, et des structures d’accueil qui leur permettent de rebondir matériellement et moralement.

Le tissu associatif s’amplifie de jour en jour et des bénévoles ne cessent d’alimenter par leurs générosité la lutte pour la dignité (car la précarité, la misère et le besoin ne doivent plus avoir place dans ce pays dont le parcours s’inscrit en force dans la dynamique de progrès que lui a assigné l’Artisan du Changement).

Le changement ne saurait être pleinement bénéfique que quand la protection des catégories spécifiques occupe une place privilégiée dans les préoccupations des responsables du pays. C’est pourquoi le Président Ben Ali, non content de rappeler à la société civile et notamment aux associations caritatives le devoir de voler au secours des faibles, a érigé un vaste édifice institutionnel et a mis en œuvre une stratégie cohérente et globale. L’objectif étant l’intégration de ces catégories vulnérables autour d’un dispositif de mesures, de lois et de mécanismes leur permettant de mener une vie digne et décente, d’une façon non plus conjoncturelle mais durable. Avec en priorité l’ancrage en elles du désir de relever le défi de l’emploi en transcendant leurs handicaps.

C’est là, une politique sociale qui s’appuie sur une stratégie économique qui a fait ses preuves. De sorte que les retombées du progrès matériel profitent à tous à travers un partage équitable des richesses et des chances (dans le secteur de l’emploi, de l’éducation, de la formation, etc.). Ainsi se donne à lire une stratégie qui marie d’une façon pertinente la volonté de l’Etat de servir de protecteur de ces catégories et celle du tissu associatif de remplir son devoir moral et humain.

L’Expert

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